Évitement et réduction des émissions de GES et séquestration du carbone dans les entreprises agricoles. CERFO. Technote. 2022-05, 7 pages.

Réduire fortement les émissions de gaz à effet de serre (GES) est essentiel si le Québec souhaite contribuer à limiter la hausse de température à 1,5°C au-dessus du niveau préindustriel et atténuer les impacts ressentis et anticipés des changements climatiques. Les impacts anticipés d’ici 2050 mettent en évidence la nécessité d’un positionnement des entreprises agricoles quant aux stratégies à adopter pour maintenir, voire augmenter la productivité et la rentabilité de l’agriculture, tout en en minimisant leur empreinte environnementale et carbone. Par ailleurs, une réduction significative des émissions de GES du secteur agricole permettra de contribuer à l’atteinte de la carboneutralité du Québec en 2050.

Dans ce contexte, cette note technique fait un survol des sources d’émissions de GES non énergétiques à la ferme. Elle propose aussi des mesures susceptibles de favoriser l’évitement et la réduction des principaux postes d’émissions de GES ainsi que la séquestration du carbone à l’échelle des entreprises agricoles. D’autres solutions de réduction et d’évitement pourront éventuellement être disponibles, en fonction de l’avancement des connaissances sur certaines pratiques agricoles.

Caractérisation et diagnostic sylvicole de zones dédiées à la séquestration du carbone en contexte routier. CERFO. Technote 2020-01. 8 p.

Le ministère des Transports du Québec s’est engagé dans son plan d’action de développement durable 2020 à devenir carboneutre. En plus de mettre en place des actions d’évitement et de réduction à la source des émissions générées par ses activités, le ministère à décidé de compenser les émissions de GES qui n’ont pu être évitées ou réduites.

Séquestration du carbone dans des systèmes agroforestiers multifonctionnels. CERFO. Technote 2019-01. 6 pages.

Le marché du carbone créé en 2013 au Québec dans le but de forcer les grandes entreprises qui polluent à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre (GES) est en train de se structurer.  L’un des défis pour les rendre admissibles au volet des crédits compensatoires québécois est la détermination des quantités de carbone séquestrées en fonction des conditions naturelles.