L’exploitation du chêne rouge (Quercus rubra L.) pour la construction navale au XIXe siècle, ses caractéristiques écologiques et la suppression des feux de forêt ont entraîné une régression importante de l’espèce dans la zone feuillue du territoire québécois. Dans l’objectif de maintenir la biodiversité et d’optimiser la valeur des terres, sa restauration devient nécessaire. Or, les pratiques sylvicoles actuelles, comme la jardinage par pied d’arbre, ne suffisent pas à y arriver.
Article paru dans le Monde forestier du mois de février 2005