Sylviculture préventive aux chablis dans le secteur du lac Sacacomie – Phase 2. CERFO. Rapport 2004-10. 12 p.

On retrouve en Mauricie, dans la partie sud de l’aire commune 41-02 faisant partie du territoire d’approvisionnement des bénéficiaires de CAAF, au sud-ouest du lac Saint-Bernard, une zone caractérisée par des dépôts de tills minces à très minces et une forte élévation la rendant particulièrement vulnérable aux chablis. De plus, le secteur représente une sensibilité élevée du paysage pour les usagers de l’Auberge Sacacomie. La réalisation de ce projet vise à développer une stratégie sylvicole permettant de minimiser les pertes dues aux chablis tout en tenant compte de la sensibilité du paysage.

Le dispositif à l’étude est constitué de 5 répétitions comportant chacune un traitement de coupe de régénération lente par lisière, de coupe progressive par lisière, ainsi qu’un témoin sans intervention. Les deux traitements s’inspirent du jardinage par lisière, utilisé notamment dans les régions montagneuses suisses et sur les côtes anglaises, qui permet d’obtenir une structure étagée plus résistante au chablis. Le dispositif est placé le long d’une falaise, sur une distance de 2250 m, à la marge du secteur à risque, chaque bloc faisant face aux vents dominants.

Un inventaire avant traitement a permis de qualifier le bois sur pied, la régénération, les caractéristiques écologiques (Blouin et al., 2001) ainsi que les risques de chablis (Blouin et al., 2003).

Le dispositif est installé et les données avant traitement sont banquées et compilées. Les activités de la première récolte et de suivi planifiées depuis l’été 2001 ont débuté à l’été 2003 mais ont été interrompues dû à l’absence d’un chemin d’accès d’été. Les travaux devaient être réalisées à l’hiver 2003-2004 mais n’ont jamais repris et sont toujours en attente d’opération.

Sylviculture préventive aux chablis dans le secteur du lac Sacacomie – Phase 3. CERFO. Rapport 2004-11. 6 p.

On retrouve en Mauricie, dans la partie sud de l’aire commune 41-02 faisant partie du territoire d’approvisionnement des bénéficiaires de CAAF, au sud-ouest du lac Saint-Bernard, une zone caractérisée par des dépôts de tills minces à très minces et une forte élévation la rendant particulièrement vulnérable aux chablis. De plus, le secteur représente une sensibilité élevée du paysage pour les usagers de l’Auberge Sacacomie. La réalisation de ce projet vise à développer une stratégie sylvicole permettant de minimiser les pertes dues aux chablis tout en tenant compte de la sensibilité du paysage.

Le dispositif à l’étude est constitué de 5 répétitions comportant chacune un traitement de coupe de régénération lente par lisière, de coupe progressive par lisière, ainsi qu’un témoin sans intervention. Les deux traitements s’inspirent du jardinage par lisière, utilisé notamment dans les régions montagneuses suisses et sur les côtes anglaises, qui permet d’obtenir une structure étagée plus résistante au chablis. Le dispositif est placé le long d’une falaise, sur une distance de 2250 m, à la marge du secteur à risque, chaque bloc faisant face aux vents dominants.

Un inventaire avant traitement a permis de qualifier le bois sur pied, la régénération, les caractéristiques écologiques (Blouin et al., 2001) ainsi que les risques de chablis (Blouin et al., 2003).

Le dispositif est installé et les données avant traitement sont banquées et compilées. Les activités de la première récolte et de suivi planifiées depuis l’été 2001 ont débuté à l’été 2003 mais ont été interrompues dû à l’absence d’un chemin d’accès d’été. Les travaux devaient être réalisées à l’hiver 2003-2004 mais n’ont jamais repris et sont toujours en attente d’opération.

Ainsi, la phase III visant à faire le suivi du chablis un an après les interventions est reportée à une date indéterminée.

Sylviculture préventive aux chablis dans le secteur du lac Sacacomie – Phase1A. CERFO Rapport 2003-07. 13 p.

On retrouve en Mauricie, dans la partie sud de l’aire commune 41-02 faisant partie du territoire d’approvisionnement des bénéficiaires de CAAF, au sud-ouest du lac Saint-Bernard, une zone caractérisée par des dépôts de tills minces à très minces et une forte élévation la rendant particulièrement vulnérable aux chablis. De plus, le secteur représente une sensibilité élevée du paysage pour les usagers de l’Auberge Sacacomie. La réalisation de ce projet vise à développer une stratégie sylvicole permettant de minimiser les pertes dues au chablis tout en tenant compte de la sensibilité du paysage.

Le dispositif à l’étude est constitué de 5 répétitions comportant chacune un traitement de coupe de régénération lente par lisière, de coupe progressive par lisière, ainsi qu’un témoin sans intervention. Les deux traitements s’inspirent du jardinage par lisière, utilisé notamment dans les régions montagneuses suisses et sur les côtes anglaises, qui permet d’obtenir une structure étagée plus résistante au chablis. Le dispositif est placé le long d’une falaise, sur une distance de 2250 m, à la marge du secteur à risque, chaque bloc faisant face aux vents dominants.

Le présent rapport est une continuation de la phase I avec la présentation des patrons de coupe en fonction des équipements de récolte disponibles et de la structure des peuplements. La simulation des risques de chablis est également présentée. La phase II du projet constituera les activités de la première récolte dans les peuplements, alors que la phase III sera une évaluation des chablis sur le site un an après les interventions.

Un inventaire avant traitement du bois sur pied a couvert l’ensemble du dispositif (60 ha) et a permis de qualifier les peuplements. Le peuplement résineux (à dominance d’épinette) à l’étude est constitué d’une moyenne de 1885 tiges à l’hectare d’une hauteur moyenne de 12,8 m. La surface terrière moyenne y est de 29 m2 /ha pour un volume moyen de 135 m3 /ha. Le dhp moyen des tiges est de 15,7 cm.

La régénération préétablie de moins de 30 cm de hauteur pour l’ensemble du dispositif est principalement constituée de sapin (c.d. de 79,7 %), de thuya (c.d. de 12,7 %) et d’épinette (c.d. de 9,3 %). Il est à noter que la régénération de plus de 60 cm de hauteur est de moindre importance, avec un coefficient de distribution de 43 % seulement constitué des mêmes espèces. Les essences de compétition sont très peu présentes.

Le secteur est constitué du type écologique RE20. Les relevés de sol ont permis de confirmer la présence de facteurs importants pour la vulnérabilité au chablis (Ruel, 1992). Les dépôts de surface rencontrés sont dominés par les affleurements rocheux et les tills très minces à texture très fine, avec une profondeur moyenne de 36 cm. Les drainages excessifs et rapides sont de plus fortement représentés.

La modélisation informatique des risques de chablis a été réalisée à l’aide du logiciel « Forest Gales ». En tenant compte des caractéristiques du site, du peuplement et des modèles de coupes, les résultats de cette simulation démontrent un risque élevé de chablis dans plusieurs secteurs dès la première année après les interventions.

Le dispositif est installé et les données avant traitement sont banquées et compilées. Les activités de la première récolte et de suivi planifiées depuis l’été 2001 devraient être réalisées à l’été 2003.

Sylviculture préventive aux chablis dans le secteur du lac Sacacomie – Phase 1. CERFO. Rapport 2001-01. 20 p.

On retrouve en Mauricie, dans la partie sud de l’aire commune 41-02, au sud-ouest du lac Saint-Bernard, une zone caractérisée par des dépôts de tills minces à très mince et une forte élévation la rendant particulièrement vulnérable aux chablis. De plus, le secteur représente une sensibilité élevée du paysage pour les usagés de l’hôtel Sacacomie. La réalisation de ce projet vise à développer une stratégie sylvicole permettant de minimiser les pertes dues au chablis tout en tenant compte de la sensibilité du paysage.

Le dispositif à l’étude est constitué de 5 blocs comportant chacun un traitement de coupe progressive par lisière, de coupe de jardinage par lisières, ainsi qu’un témoin. Les deux traitements, utilisés notamment dans les régions montagneuses suisses et sur les côtes anglaises, permettent d’obtenir une structure étagée plus résistante au chablis. Le dispositif est placé le long d’une falaise, sur une distance de 2250 m, à la marge du secteur à risque, chaque bloc faisant face aux vents dominants.

Un inventaire avant traitement du bois sur pied a couvert l’ensemble du dispositif (60 ha) et a permis de qualifier les peuplements. Le peuplement résineux (à dominance d’épinette) à l’étude est constitué d’une moyenne de 1885 tiges à l’hectare. La surface terrière moyenne y est de 29 m2 /ha pour un volume moyen de 135 m3 /ha. Le dhp moyen des tiges est de 15,7 cm.

La régénération préétablie de moins de 30 cm de hauteur pour l’ensemble du dispositif est principalement constituée de sapin (coefficient de distribution de 79,7 %), de thuya (coefficient de distribution de 12,7 %) et d’épinette (coefficient de distribution de 9,3 %). Il est à noter que la régénération de plus de 60 cm de hauteur est de moindre importance, avec un coefficient de distribution de 43 % seulement. Les essences de compétition sont très peu présentes.

Une modélisation informatique des risques de chablis est également réalisée par monsieur JeanClaude Ruel de l’Université Laval. Les résultats de cette simulation seront bientôt disponibles dans un second rapport.

Les relevés de sol ont permis de confirmer la vulnérabilité du site face au chablis. Le sol est généralement mince, avec une profondeur moyenne de 36 cm, alors que les dépôts rencontrés sont dominés par les affleurements rocheux et les tills très minces à texture très fine. Les drainages excessif et rapide sont de plus fortement représentés.

Le dispositif est installé et les données avant traitement sont banquées et compilées. La première phase des interventions de récolte et de suivi sera exécutée à l’été 2001.