Elagage_chez_feuillus_nobles_fev2006.pdf
Au Québec, l’élagage est rarement pratiqué. Pourtant les besoins d’éducation des jeunes peuplements feuillus sont de plus en plus répandus. Pour maximiser la qualité et la valeur marchande de ces peuplements, les propriétaires de boisés auraient intérêt à recourir à la taille de certaines branches. En effet, l’élagage permet de produire du bois non élagué. L’écart de prix important est généré par l’élagage risque de s’accentuer avec le temps, devant l’excédent de bois feuillus de médiocre qualité qui existe dans de nombreuses régions du Québec. Le bois élagué devrait donc s’en trouver d’autant plus valorisé.
Article paru dans le Monde forestier du mois de février 2006